COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Tristan Maillard a succédé à Brigitte Bachelard à la tête de la Haute Ecole Arc au mois de janvier 2025. Un peu plus de trois mois après sa prise de fonction, il tire un premier bilan et trace les grandes lignes des actions déjà réalisées et de celles à entreprendre. Dans une volonté permanente de formation et de soutien à l’innovation pour les entreprises et institutions du territoire.
«Notre Ecole a le potentiel pour aider davantage la région à préparer son futur!». Le nouveau directeur de la Haute Ecole Arc ne s’embarrasse pas d’ambages pour décrire la situation et considère de sa responsabilité de développer l’institution pour la rendre encore plus impactante.
«Nous sommes situés dans la région la plus industrialisée de Suisse et donc directement touchés par le contexte économique mondial et les bouleversements des marchés. Le salut passe par l’innovation et les talents, soit former nos jeunes et rester en avance sur nos concurrents», poursuit-il.
Observer et construire les bases d’une action durable
En 100 jours, Tristan Maillard a pu se convaincre de l’engagement des équipes, de leur souhait de faire évoluer l’institution et du soutien politique des trois cantons porteurs de la HE-Arc.
Présent sur le Campus de Neuchâtel à l’occasion des 100 jours du nouveau directeur, le Président du Comité stratégique et Ministre jurassien de la formation Martial Courtet confirme : «Notre région a besoin de gens bien formés, d’ingénieurs, d’infirmiers ou de gestionnaires d’entreprises. Le contexte mondial nous oblige à une innovation de tous les instants et, en ce sens, la HE-Arc joue un rôle central. L’expérience, le dynamisme et le sens de l’écoute de Tristan Maillard font de lui l’homme de la situation».
Une appréciation partagée par les Conseillères d’Etat neuchâteloise et bernoise Crystel Graf et Christine Häsler, également membres du Comité stratégique de la HE-Arc.
Les 100 jours …. qu’un début
En 100 jours, le nouveau directeur a fixé des priorités pour l’Ecole: soit augmenter l’attractivité auprès des futurs étudiants, travailler sur des collaborations renforcées avec l’écosystème régional et simplifier les processus internes. C’est ainsi que la HE-Arc pourra atteindre son plein potentiel.
Un exemple, les réflexions en cours pour unir les forces et les compétences des domaines Gestion et Ingénierie de la Haute Ecole Arc. Et ce, dans le cadre d’une initiative de soutien à l’industrie manufacturière locale pour faire face aux défis quelle rencontre. Notamment ceux liés à la digitalisation, à la durabilité et aux nouveaux modèles d’affaires.
